dans le soleil et dans le vent

C’est presque l’automne, les enfant moissonnent. Et j’ai déjà, rentré le bois. Toi, en uniforme, avec d’autres hommes, très loin d’ici, tu es parti, toi qui chantais. Dans le soleil et dans le vent, tournant les ailes du vieux moulin. Elles tourneront aussi longtemps, que nous vivrons main dans la main.

Un peu de poussière, sur la tabatière, me prouve bien, que tu es loin. Mais, je crois entendre, le refrain si tendre, que l’an dernier, pour me bercer, tu me chantais. Dans le soleil et dans le vent, tournant les ailes du vieux moulin. Elles tourneront aussi longtemps, que nous vivrons main dans la main.

Ton ami hier, est rentré de guerre, il n’a rien dit. Mais j’ai compris, en voyant ta chaîne, ton blouson de laine, que plus jamais, tu ne viendrais, me rechanter. Dans le soleil et dans le vent, tournant les ailes du vieux moulin. Elles tourneront aussi longtemps, que nous vivrons main dans la main.

Tournent les ailes dans la lumière, tourne le temps rien n’a changé. Mais dans mon cœur, depuis hier, le vieux moulin s’est arrêté.

aline

J’avais dessiné sur le sable, son doux visage qui me souriait. Puis il a plu sur cette plage, dans cet orage, elle a disparu. Et j’ai crié, crié: Aline!, pour qu’elle revienne. Et j’ai pleuré, pleuré, oh j’avais trop de peine. Je me suis assis auprès de son âme, mais la belle dame s’était enfuie. Je l’ai cherchée sans plus y croire, et sans un espoir, pour me guider. Et j’ai crié, crié: Aline!, pour qu’elle revienne. Et j’ai pleuré, pleuré, oh j’avais trop de peine. Je n’ai gardé que ce doux visage, comme une épave sur le sable mouillé. Et j’ai crié, crié: Aline!, pour qu’elle revienne. Et j’ai pleuré, pleuré, oh j’avais trop de peine.

Oh mon amour

Dans le miroir de son passé,
Ce rêve qui s’était brisé,
Un soir d’été…

Elle a des yeux qui voient la mer, a travers la pluie qui descend. Elle fait des rêves où elle se perd, entre les grands nuages blancs. Elle ne sait plus le jour ni l’heure, elle a des larmes au fond du cœur, qui lui font peur. Oh, on amour, écoute-moi, déjà la vie t’attend là-bas, non n’aie pas peur, il faut me croire, la vie est belle même sans mémoire. Tu sais, je te raconterai, avec le temps, tu comprendras. Elle n’entend pas ce que je dis, et sa main dans ma main s’endort. Je voudrais être ce pays, où elle s’en va chercher encore. Dans le miroir de son passé, ce rêve qui s’était brisé, un soir d’été.

Oh, mon amour écoute-moi, un autre monde t’attend là-bas, non n’aie pas peur, il faut me croire, la vie est belle et notre histoire peut continuer quand tu voudras, et tout sera comme autrefois. Oh, mon amour ouvre ton cœur, tu m’entendras, pardonne le mal que je t’ai fait, je ne te quitterai plus jamais. Oui, mets ta main dans mes cheveux, je vois du soleil dans tes yeux. Oh, mon amour, une autre vie t’attend là-bas, je t’aime tant, il faut me croire, le monde est beau et notre histoire, peut continuer quand tu voudras, et tout sera comme autrefois.

main dans la main

Mon presque premier amour…

Je t’aime et je t’aimerai toujours, mon presque premier amour. Ma tendresse, mon bonheur, ma douleur, je t’enferme au fond de mon cœur. Nous serons tous deux comme des amoureux, nous serons si bien main dans la main. Nous serons tous deux comme des amoureux, nous serons si bien main dans la main. Quand, où et comment le dire? Ce grand amour qui me déchire. Je t’aime et je t’aimerai toujours, de l’aube à la fin de jour.

la maritza

De mes dix premières années,
Il ne me reste plus rien, rien…

La Maritza c’est ma rivière, comme la Seine est la tienne. Mais il n’y a que mon père , maintenant qui s’en souvienne, quelquefois. De mes dix premières années, il ne me reste plus rien, pas la plus pauvre poupée, plus rien qu’un petit refrain, d’autrefois. Tous les oiseaux de ma rivière, nous chantaient la liberté, moi je ne comprenais guère, mais mon père lui savait…

Khi nhỏ rất thích bài hát này, mặc dù lúc đó hoàn toàn không hiểu ca từ của nó, giờ thì mọi thứ có vẻ đã rõ ràng hơn. Bài này có một cái lời Việt cũng khá dể thương: Nhánh sông thân yêu ngày chưa biết buồn, đã ru tôi trọn ngày thơ ấu. Ngỡ quên đi cùng năm tháng dài, sao giờ bỗng hồn đầy nhớ thương, dòng sông cũ. Những thân yêu trong mười năm bé dại, bỏ tôi đi tựa mùa xuân cũ…

solenzara

Thêm một bài nhạc Pháp cũ, thuộc dạng đơn giản, dể thuộc, dể hát nhưng lại rất hay: je sais que cette nuit – là, notre amour a pris sa vie, au coeur de Solenzara – và anh đã biết rằng đêm đó, tình yêu của chúng ta ra đời, trên bãi biển ở Solenzara…

Sur la plag’ de Solenzara, nous nous sommes rencontrés, un pêcheur et sa guitare, chantaient dans la nuit d’été, cette douce mélopée. Sur la plag’ de Solenzara, chaque soir on a dansé, et le jour de ton départ, j’ai compris que je t’aimais, et je ne t’ai plus quitté. À Solenzara, Oh, chi dolce felicita. À Solenzara, più bènum si posta… Quand j’entends la mélodie, qui m’a donné tant de joie, je sais que cette nuit – là, notre amour a pris sa vie, au coeur de Solenzara. À Solenzara, j’y reviendrai tous les étés. À Solenzara, più bènum si posta, più bènum si posta…

le temps de l’amour

C’est le temps de l’amour, le temps des copains, et de l’aventure. Quand le temps va et vient, on ne pense à rien, malgré ses blessures. Car le temps de l’amour, c’est long et c’est court, ca dure toujours, on s’en souvient. On se dit qu’à vingt ans, on est le roi du monde. Et qu’éternellement, il y aura dans nos yeux, tout le ciel bleu. Car le temps de l’amour, ca vous met au cœur, beaucoup de chaleur, et de bonheur.

Luôn cảm thấy vui vẻ đến rộn ràng mỗi khi nghe bài hát này… ngày ta 20 tuổi, ta nghĩ mình sẽ là vua của toàn thế giới, trong ánh mắt mãi chỉ có bầu trời xanh… Bài này có một cái lời Việt: Mùa tình yêu đến đây rồi, mùa tươi thắm cho đời, lời yêu thương giăng khắp nơi. Mùa tình yêu ngất ngây lòng, cuộc phiêu lãng tang bồng…

adieu jolie candy

Adieu jolie Candy,
tu m’écriras, tu le dis,
mais on dit toujours ça…

Adieu jolie Candy, c’est à Orly, que finissent les vacances à Paris. Adieu jolie Candy, une voix t’appelle, c’est l’heure déjà de t’en aller. Dans cet avion, qui t’emmène vers l’Angleterre. Adieu jolie Candy, tu m’écriras, tu le dis, mais on dit toujours ça. Adieu jolie Candy, je regretterai ton sourire, et tes fautes de Français. Mais cet avion, te ramène en Angleterre…

revoir

Revoir, la fille qui m’a donné, la fille qui m’a aimé, un instant de ma vie. Revoir, un visage oublié, une image déchirée, un instant d’une vie. Savoir, qu’elle me dira je t’aime. Savoir, qu’elle oubliera mes peines. Savoir, qu’elle est mon seul amour, le plus beau jour des jours, la plus belle nuit d’amour. Revoir, la fille qui m’a donné, le nuage qui m’a volé, un instant de ma vie. Revoir, un amour de toujours, le plus beau bref d’amour, là devant moi. Savoir, qu’elle me dira je t’aime. Savoir, qu’elle oubliera mes peines. Savoir, qu’elle est mon seul amour, le plus beau jour des jours, la plus belle nuit d’amour.

si l’amour existe encore

Si l’amour existe encore, il ressemble à ton corps. Si l’amour existe encore, serre – moi. encore plus fort. Si l’amour existe encore, près de toi quand je m’endors. Si l’amour existe encore, serre – moi encore plus fort. Personne, n’a jamais su me dire, les mots d’amour, les mots du cœur, quelque chose comme: Je t’aime. Ce soir, la vie me semble belle, l’amour à tire d’aile, s’est posé, sur toi et moi. Si l’amour existe encore, il ressemble à tes vingt ans. Au soleil qui tendrement, nous fait oublier le temps. Si l’amour existe encore, Près de toi quand je m’endors. Si l’amour existe encore, serre – moi, encore plus fort.