Au bord des pleurs

es yeux Lara, revoient toujours ce train, ce dernier train, partant vers le chagrin. Le ciel était couvert de neige, au loin déjà l’horizon brûlait. Le ciel était couvert de neige, au loin déjà le canon tonnait. Cette chanson, que chantaient les soldats. C’était si bon, serré entre tes bras. Au bord des pleurs, tu souriais Lara, oubliant l’heure, la guerre, la peur, le froid. Un jour Lara, quand tournera le vent…